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Open them wide - Ryme

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Cillian

Classe : Chevalier Noir

Points de rang : 1394



Chimères
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Cillian

Monsieur tout le monde

Sam 2 Mar 2019 - 10:32
J'attends gentiment la réponse de Ryme. Moi, je n'ai vraiment pas d'avis sur le sujet. Si les gamins le proposent, c'est que ce n'est pas si grave que ça. Non, ils doivent juste être inquiets, au village. Vu comment Ryme et moi avons un certain talent pour attirer les ennuis, c'est compréhensible. D'une voix douce, Ryme indique que l'on rentrera tous ensemble. Les gamin semblent contents et je secoue doucement la tête pour signifier mon accord, si jamais. Je fais doucement craquer mon cou avant que nous nous mettions en route.

Ryme se dirige vers une gamine qui la regarde avec insistance pour lui prendre la main. Je dois avouer que je suis presque un peu jaloux. J'aurai bien aimé qu'elle prenne la mienne, mais il ne faut pas que je sois égoïste. J'ai passé toute la journée tout seul avec elle, il ne faut pas que j'en demande plus, non ? Un des gamins pose une question sur ce que l'on a fait de notre journée. Je rougis presque imperceptiblement, mais je suis sur que les plus âgés de mes gamins ont remarqué. Et savent très bien ce que ça veut dire. Ryme semble ne pas vouloir répondre, me laissant le plaisir de trouver un petit mensonge.

« Et bien … Tu ne le répétera à personne, d'accord ? »

Le visage de l'enfant s'illumine un peu. Un vrai secret d'adulte, ça doit être beaucoup trop bien pour lui. Si seulement il savait. Je marque une petite pause pour tisser correctement mon petit mensonge avant de reprendre.

« Quand j'avais votre âge, j'avais construit une cabane dans le coin. Je me suis dit que j'allais la montrer à Ryme. Malheureusement, elle est toute cassée. »

Je soupire doucement pour montrer ma tristesse. Ça devrait couper toute envie de poser plus de questions. Ils sont gentils, les gamins d'ici. Pas du genre à trop pousser quand ils voient que ça ne va pas trop. Ce sont de braves enfants. Tout ce que j'espère, c'est que la vie ne va pas les changer. C'est tout le mal que je leur souhaite. Je baisse doucement les yeux pour signifier que je n'ai pas vraiment envie de parler. Malheureusement pour elle, mais heureusement pour moi, cela fait que toutes les attentions des gamins sont portés sur la jolie rousse, qui se retrouve prise sous un vrai déluge de questions. Bon. Cela ne semble pas trop la déranger, car elle m'adresse de grands et si beaux sourires quand elle croise mon regard. Ca me va.

Bien trop vite à mon goût, on arrive au village. Au fond, je sais que c'est une bonne chose. Le nuit commence doucement à tomber, et les monstres sont enhardis par l'obscurité. Pas sur que les charmes protecteurs, plus faibles au plus loin on est du village, n'auraient suffit à assurer notre sécurité, surtout que je me sens plutôt fatigué. La voix de la vigie, bien plus grave que celle de Ryme ou des enfants, interromps les conversations. Ils nous ont vus. Parfait, je présume. Dans un grincement un peu inquiétant, les portes s'ouvrent, nous laissant entrer.

Il y a une petite foule pour nous accueillir. Je crois reconnaître certains des parents des gamins venus nous chercher. J'ai peur de lire dans leurs yeux de la déception ou de la rancœur. Dans un sens, j'ai participé à mettre leurs gamins en danger. Je l'accepterai, si il se mettaient à me détester pour ça. C'est logique. Il y a aussi des badauds qui se dispersent une fois que la porte est refermée. C'est vrai que tout le monde n'a pas la possibilité de voir ma chère et tendre. Le village n'est pas le plus grand des villages, mais il est vrai qu'une partie de ses habitants ne quitte jamais son quartier. C'est triste, au fond. Je ne vois pas Garan, ni le gardien de Ryme. Je dois avouer que ça m'inquiète un peu, sentiment exacerbé par l'arrivée d'une Jienne visiblement troublée, qui me demande de venir. Je regarde Ryme, puis les gamins, puis Jienne.

« Merci pour votre aide les jeunes. On se voit demain au terrain d'entrainement, d'accord ? »

Le ton de ma voix n'invite pas vraiment a la contradiction, et c'est en traînant un peu les pieds que notre petit comité de protection se disperse. Je retourne ensuite mon attention sur Jienne et lui dit d'un ton neutre.

« Ryme vient avec. »

Elle ne semblait même pas penser d'une autre façon. Bien. Il semblerait que Ryme ait vraiment été acceptée comme membre à part entière de la famille et ça me fait plaisir. On se met en route dans une direction qui semble être celle de la maison des parents. D'une voix qui semble être troublée, ma sœur explique un peu la situation.

« Ils sont arrivés il y a même pas une demi heure. Ils veulent prendre papa. Je ne sais pas ce qui se passe. »

Je fronce les sourcils.

« Ils ? »

Je me demande de qui elle parle. Je lance un regard à Ryme pour savoir si elle a une idée. Jienne secoue la tête.

« Oui, tu ne peux pas savoir. Les banisseurs. »

Les banisseurs ? Qu'est-ce qu'ils peuvent bien vouloir à mon père ? Heureusement, on arrive bien vite à la maison. Et effectivement, il y a trois banisseurs en armure, qui semblent discuter avec mon père. En nous voyant arriver, les deux côtés semblent un peu soulagés. C'est étrange. Que mon père soit soulagé en me voyant arriver, je peux le comprendre. Il doit savoir que je vais naturellement me ranger a ses côtés. Mais pourquoi est-ce que les zigues en armure semblent contents. Celui qui semble être le chef m'adresse la parole.

« Ah, Cillian, parfait. Tu vas pouvoir expliquer un peu à ton père. »

Papa se tourne vers moi.

« Dis à ces zigotos que je n'ai rien fait de mal, Cil ! »

Je pose mes mains sur mes hanches. Je ne peut donc pas avoir une journée tranquille. Le banisseur reprends la parole.

« Tu sais ce que c'est, Cillian. Il faut que ton père vienne avec nous au moins une semaine. Il faut que l'on ... »

Mon père ne les laisse pas finir.

« Je n'ai rien fait de mal, je n'ai pas à venir avec vous ! C'est honteux mon garçon. Je t'ai connu quand tu étais tout gamin ! Comment est-ce que tu peux oser me faire ça. »

Le banisseur me lance un regard plein d'un mélange d'espoir et de lassitude. Je sais comment est mon père. Même si ils venaient pour lui annoncer qu'il devait venir pour devenir roi de Spira, si il a décidé qu'il ne viendrait pas, le faire changer d'avis serait bien trop difficile. D'ailleurs, il me regarde.

« Ne me dis pas que tu tiens avec eux, Cil. Pas toi. »

Je me frotte le front. Je n'ai vraiment pas envie d'avoir à gérer ça. Un des banisseurs se dirige vers Ryme et semble lui dire quelque chose tout bas. Passer par elle serait peut être une bonne idée. Moi, je sais quelle est la situation. Et je baisse les yeux. C'est ma faute, en fait.

Ce que je peux être bête parfois.

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Ryme

Classe : Mage blanc

Points de rang : 2097



Chimères
Chimères possédées:

Sorts & compétences

Ryme

Invokeure

Lun 4 Mar 2019 - 13:24
Les gamins détalèrent joyeusement, heureux d'avoir accompli leur mission sans accro. Ryme les regarda partir avec un sourire tendre sur le visage – elle voyait en eux, le fantôme d'un petit Cillian. Sans réellement l'avouer, elle discernait aussi son futur. Après tout, peut-être que le destin lui offrirait d'épouser son borgne, peut-être même qu'elle donnerait la vie à son enfant, un petit être qui pourrait grandir entre le soleil et la mer de Besaid.
Une fois qu'il n'y eut plus que Jienne et que les petites frimousses furent définitivement dispersées, l'atmosphère redevint sérieuse. Alors qu'elle pensait devoir rentrer au temple, Ryme fut invitée à rejoindre la maison familiale de Cillian où, selon les dires de sa sœur, des Bannisseurs étaient venus chercher son père. La jeune femme se demandait ce que pouvais bien vouloir l'organisme à Nessim. Il était connu de tous et de toutes dans le village, était même pressentit pour devenir le prochain maire. À plusieurs reprises, malgré son âge, il avait même participé à plusieurs battus lorsque des monstres s'étaient aventurés trop près du village. Ryme n'avait jamais eut à le recoudre ou le soigner, contrairement à d'autres hommes de la garnison. Cillian avait sans doute hérité de son don pour le combat de son père. Peut-être même que ce dernier avait eut une vie d'aventure avant de revenir sur l'île et épouser Samaah.

Deux Bannisseurs se tenaient devant la petite porte de la maison, ils arboraient un air sévère, mais s'adoucirent drastiquement sur le passage de Ryme. Peut-être que sa venue était une bonne chose : avec son charme naturel, elle pourrait essayer de les faire changer d'avis. À l'intérieur de la bâtisse, l'atmosphère était tout autre, le père de Cillian était résolument planté sur une chaise, les bras croisés et tenait tête au reste de la délégation de la garnison. Il prit aussitôt à parti son fils, tout comme le fit le Banisseur. Ryme se sentit bien impuissante face à cette situation qu'elle ne comprenait pas tout à fait : était-on là pour arrêter le patriarche ? Avait-il commis un crime ? Cillian, lui semblait comprendre les tenants et les aboutissants de la conversation, mais l'Invokeure n'osa pas lui poser de questions, son ignorance était un fardeau qu'elle devait porter seule.
Un Banniseur dû néanmoins percevoir son trouble ou avoir la jugeote de se dire que la jeune femme ne connaissait pas les coutumes de l'île. Il se pencha sur son épaule pour lui glisser quelques mots.

Pour devenir le prochain maire, il faudrait que Nessim vienne avec nous pendant une semaine, afin que l'on teste ses capacités au combat mais aussi ses qualités de leader, murmura-t-il afin de ne pas trop attirer l'attention sur eux.

— Pourquoi refuse-t-il se s'y plier si c'est une coutume de l'île ? C'est un homme qui aime Besaid et ses traditions, répondit l'Invokeure de la même voix feutrée.

Eh bien, c'est une tradition qui s'est un peu perdue, on a demandé à personne de prouver sa valeur depuis longtemps, peut-être bien une petite cinquantaine d'année voir plus. Mais le maire actuel s'est souvenu de cette coutume, enfin, sa petite fille lui a demandé s'il allait l'appliquer, expliqua-t-il.

Ryme poussa un long et profond soupir par le nez, Marnie. Même en cette journée délicieuse, il fallait que cette femme arrive à se faufiler un chemin. Pire encore, cette fois-ci, elle ne s'attaquait pas directement à Cillian ou bien Ryme elle-même, mais elle avait prit pour cible des personnes totalement innocentes. Aussitôt, complot et coups bas fusèrent dans l'esprit de l'Invokeure qui imaginait déjà mille et une façon de se venger. Mais en voyant l'air perdu du père de Cillian et les larmes dans les yeux de sa mère, ses sombres desseins volèrent en éclats. La situation n'avait que trop duré.

Est-ce sans danger pour lui ? demanda-t-elle d'une voix douce qui ne laissait rien transparaître de son trouble.

Bien sûr, cette tradition a été abandonnée car à part être un prétexte pour faire la fête, personne n'accomplissait des hauts fait de bravoure pour gagner ses galons de chefs...

Considérant cette information en silence, Ryme réfléchissait. Si en effet, il n'y avait aucun risque, cette petite semaine ne serait qu'une formalité. Mais avec Marnie dans les parages... L'Invokeure ne doutait pas que sa 'rivale' n'hésiterait pas à faire du mal au père de Cillian si cela voulait dire qu'il resterait sur l'île. Sans Nessim, beaucoup de choses seraient difficiles pour Jienne et Semaah. Et puis le maire actuel avait beaucoup d'affection pour Cillian, si son père venait à disparaître, il ne faisait aucun doute que la succession lui reviendrait.

Nessim, commença-t-elle d'une voix douce tout en s'approchant, je vous comprends. Vous êtes au service du village depuis tant d'années : votre valeur n'est plus à prouvée.

Ah, enfin un peu de soutien !

Néanmoins, si mon rôle d'Invokeure m'a bien appris quelque chose, c'est que parfois nous devons nous dépasser pour devenir un symbole, un phare dans la nuit pour ceux qui se trouve dans les ténèbres. En refusant de prendre part à cette loi, vous priveriez beaucoup de gens de cette lumière dont ils ont tant besoin.

Je... C'est vrai, mais... Il leva les yeux vers Cillian, une lueur implorante dans le regard.

Dans la tradition, vous avez le droit de venir avec une personne de votre famille. Peut-être que Garan, Cillian ou Jienne pourrait venir avec vous si vous êtes inquiets, déclara un Bannisseur qui se trouvait près de la porte.

Ryme attrapa doucement une de ses mains, lui offrant son courage ainsi que son soutien. Elle ne comprenait que trop bien le poids que ce genre de situation impliquait. Elle n'était pas ravie de le voir partir, surtout si cela voulait dire que Cillian devait s'en aller aussi. Soudainement, des bruits animèrent l'entrée de la maison. Le vieux maire fit son apparition, avec à son bras, sa venimeuse petite fille. Instinctivement, Ryme se releva et alla se nicher au creux des bras de Cillian. Malgré l'échange de salutations cordiales entre les deux jeunes femmes, l'atmosphère était devenue plus lourde, presque suffocante, mais personne n'aurait jamais pu soupçonner ce qui se tramait derrière les sourires.

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Cillian

Classe : Chevalier Noir

Points de rang : 1394



Chimères
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Sorts & compétences

Cillian

Monsieur tout le monde

Sam 9 Mar 2019 - 9:09
C'est quand même étrange tout ça. C'est vrai que dans la tradition, le chef doit pouvoir assurer un peu la sécurité du village. Mais, aussi loin que je m'en souviens, aucun des chefs n'avaient respecté cette coutume. Il ne me semble pas que le chef actuel l'ait faite par exemple. Ni même Fornian, qui était chef à ma naissance. C'est marrant, que cette tradition revienne au goût du jour maintenant. Si j'étais une personne de mauvais esprit, je dirai qu'il y a un rapport avec moi et Ryme. Dans un sens, j'espère que non. Que l'on me pourrisse la vie, d'accord. Que l'on pourrisse celle de Ryme, non, mais je peux comprendre. Mais aller s'en prendre à ma famille ? C'est vraiment bas. Vraiment très bas. Je fronce les sourcils. Je doute que Vilhatt ait ce genre de savoirs. Non, il lui aurait fallu un pion dans le village pour savoir comment accomplir son méfait.

Marnie.

La voix de Ryme me sort de mes pensées. Visiblement, elle essaie de convaincre papa. Elle a raison. Si je me souviens bien, l'abolition de ce service obligatoire avait été fait pour permettre à ceux de tout les chemins de vie de pouvoir devenir chef. On est plus à l'époque sauvage où il fallait que le chef du village soit une montagne de muscle. De part ses connaissances et ses relations, un homme comme mon père a bien plus à apporter au village qu'une masse de muscles comme moi, par exemple. Et elle semble trouver les mots pour le faire plier. Je ne suis pas forcément d'accord avec ce qu'elle dit, mais je ne le vocalise pas. Qu'un chef soit un symbole, comme elle le dit un phare dans la nuit, d'accord. Les invokeurs, j'ai plus l'impression qu'on les regarde comme des bonnes poires. Comme des gens qui nous permettent de nous dire que les problèmes ne sont plus nôtres.

Mais je me garde bien de vocaliser ça, surtout que deux personnes viennent d'entrer dans la maison. Ça commence à faire foule, surtout quand on voit qui est là. Tout d'abord, le chef du village auquel j'adresse un signe de la tête respectueux, puis sa maudite petite fille a laquelle j'adresse un regard glacial avant de serrer doucement Ryme contre moi. En temps normal, je ne serai pas forcément d'accord pour des marques d'affection en public, mais si ça permet de bisquer Marnie, je serai presque à faire l'amour à Ryme là comme ça sur le sol de la pièce. De sa voix parcheminée, le chef prends la parole.

« Alors Nessim, on m'a dit que tu faisais des misères à nos bons banisseurs ? »

Il n'y avait pas vraiment de reproches dans la voix du vieil homme. Les deux se connaissaient depuis plus longtemps que ma naissance et savent très bien qu'ils peuvent compter l'un sur l'autre. Je suis sur que pour le chef, l'accord de mon père n'est qu'une question de temps.

« Je suis désolé de t'imposer ça, mais Marnie à raison, il faut que je chef soit au minimum capable de se défendre. Encore plus avec le retour de Sin. »

Je lâche un petit ricanement sinistre. Marnie. Bien sur que c'est de son fait. Comment ait je pu en penser autrement. Décidément, sa bassesse n'a pas de limites. En plus de s'attaquer à moi, puis a Ryme, voilà qu'elle allonge sa vengeance aux membres de ma famille. Seigneur Yevon, donne moi la force de ne pas aller l'étrangler. Je souffle un bon coup, comme pour chasser les énergies négatives qui commencent à naître en moi avant de prendre la parole.

« J'accepte de venir en aide de mon père pour cette semaine. »

Tout le monde se tourne vers moi, et les regards diffèrent. De la part du chef et des membres de ma famille qui ne sont pas mon père, c'est un regard de soulagement. Si je suis là pour l'aider, il ne devrait vraiment rien lui arriver de mal. Chez mon père, ce regard de soulagement est matiné d'un peu de tristesse. Je suis sur qu'il aurait aimé que je défende un peu plus son point de vue. Marnie, elle, semble extatique. Et c'est normal. Comme leur maison est prêt du terrain d'entrainement, il est traditionnel que ceux de passage dorment chez eux. Je suis même presque persuadé que c'était son but. Elle est perfide comme ça. Cependant, je ne suis pas un petit oisillon sans défense.

« Par contre, je demande des aménagements. Père n'est plus tout jeune. Je demande a ce que l'on soit autorisé à rentrer chez nous le soir. Je suis sur qu'un aura bien besoin du soutien de maman et de Jienne pour se remettre en forme. Et moi, celui de l'amour de ma vie. »

Je presse Ryme un peu contre moi avant de lui embrasser la joue. Je pourrai presque sentir physiquement le regard noir que Marnie nous lance. Mais je m'en moque. Je viens de retourner son plan nul contre elle. Je regarde ensuite Ryme.

« Peut être même qu'elle pourrait venir avec nous ? En tant qu'Invokeuse, il faut qu'elle découvre la culture des endroits qu'elle visite, non ? C'est pas tout les jours que l’entraînement d'un chef à lieu, ça pourrait être dommage de gâcher, non ? »

Je n'ai vraiment aucune intention de laisser Marnie apprécier ne serait ce qu'un instant son petit moment d'intelligence. Je regarde Ryme.

« Ca te plairait ? »

C'est le premier point. Ensuite, il faudrait que le chef soit d'accord. Je suis sur que Marnie va raler, mais bon. Est-ce qu'on peut refuser quelque chose à la grande Ryme ?

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