Akemi
Invokeure
Ven 23 Juil 2021 - 20:15
Elle se sentait honteuse d’avoir énoncé des pensées aussi impures. Honteuse d’avoir agi avec aussi peu de pudeur. Sans vraiment savoir pourquoi elle se sentait ainsi. Après tout, ce n’était que ce qu’elle pensait, et ses sentiments pour le jeune homme était tel que cela aurait dû enlever cette timidité qui ne cessait de l’envahir à chaque confrontation de ce genre. Sentant les mains de son amant contre sa nuque et sa cuisse, la jeune femme n’offrit aucune résistance face à la détermination du jeune homme. Au contraire même, il pouvait entrevoir ses joues rougit et sa gêne dans son regard qui ne cessait de se dérober du sien. C’était plus fort qu’elle, elle n’arrivait à lui faire face. Sentant le corps du jeune homme se coller contre le sien, cette fois, la jeune femme osa un regard dans sa direction, ses yeux se fermant aussitôt, quand elle constata que le jeune homme allait de nouveau l’embrasser. Ses lèvres contre les siennes, la demoiselle senti un frison parcourir son échine quand la main de l’épéiste remonta de sa cuisse à son ventre. Puis un soupir s’échappa malencontreusement d’elle quand il se délia enfin d’elle, son regard se teintant d’une lueur dont elle n’arrivait pas à contrôler. Elle voulait le posséder, se donner à lui, rester ainsi, à le dévorer du regard. Ce n’était pas la première fois qu’elle le désirait avec autant d’ardeur, mais aujourd’hui… Il se dégageait de Seiji quelques choses d’indescriptible. Il était attirant, beau et surtout terriblement sexy. Est-ce que cela était dû à son entraînement ? À cette confiance qui ne cessait d’émaner de lui ? Elle ne saurait le dire, en cet instant même, tout ce qu’elle aurait été capable d’admettre, c’est qu’elle l’aimait grandement et qu’elle le voulait pour elle seule. Autant dire, que son désir était réciproque. À tous les niveaux.
Constatant que le jeune homme avait regardé brièvement l’horizon, l’invokeuse ne put retenir une nouvelle rougeur quand celui-ci énonça qu’il avait une petite heure avant le début de journée. Était-il en train de penser à ce qu’elle pensait ? Quand il se releva tout en l’aidant à faire de même, la jeune femme n’avait plus de doute quant à ses intentions. Il était évident qu’il voulait le faire. Profitant que le jeune homme lui tournait le dos tout en lui tenant la main, la jeune femme en profita pour poser son autre main de libre sur sa joue, comme pour calmer le feu qui lui brûlait le visage. Son cœur tambourinait contre sa poitrine, la hâte ne cessait d’exciter tout son être. Cela faisait un moment, qu’ils n’avaient pas profité d’un tel moment entre eux… Et cela, lui plaisait de voir qu’elle n’était pas la seule à vouloir profité de ce rapprochement pour s’adonner à ce geste d’amour. Resserrant doucement la main de son amant, Akemi suivit Seiji tout aussi discrètement que celui-ci, jusqu’à ce qu’une fois s’éleva derrière eux, manquant de la faire sursauter dans un bond comme si on la prenait sur le fait d’un méfait. Rougissant de plus belle, tout en essayant de se dérober du regard autoritaire de Régis, Akemi se sentit soudainement honteuse d’avoir été surprise ainsi. Est-ce que le vieil homme avait deviné ? Cela n’avait pas l’air d’être le cas à son grand soulagement. « Bien monsi... » À peine s’était-elle exprimée que Seiji la coupa d’une voix contrariée indiquant qu’ils n’avaient pas le temps. Face à ses paroles, la jeune femme se décomposa alors, son regard se posant immédiatement sur Seiji d’un air suppliant. « S’il te plaît… Ne sous-entends rien ! » Pensa-t-elle avec ferveur, mais c’était à croire que le jeune homme était imperméable à son air suppliant. Sentant l’embarras l’envahir plus intensément, la jeune femme resta interdite au milieu des deux hommes ne sachant que faire… Elle n’osait pas regarder Régis dans les yeux et encore moins après les paroles de Seiji. Sentant le regard de son amant sur elle, Akemi détourna aussitôt son visage pour éviter de le croiser, ses lèvres se mordant comme pour essayer de masquer sa gêne. Quand celui-ci s’éloigna d’un air agacé, la jeune femme se risqua à glisser un regard vers le commandant, qu’elle détourna aussitôt, avant de prendre une posture d’excuse, s’inclinant avec respect, tout en tentant d’élever la voix. « Dé... Désolée pour cela monsieur... » Puis elle s’éloigna à son tour, son regard se fermant tout en accompagnant sa bouille honteuse. Elle n’avait pas vécu d’éventement aussi humiliant, depuis bien longtemps. Aussi, elle tenta vainement de l’oublier de façon à ne pas se laisser dévorer par celle-ci toute la journée.
Après le repas, Akemi avait repris une teinte naturelle, préférant ne plus penser à l’événement précédent qui l’avait mis dans une situation inconfortable. Au lieu de cela, elle décida de se concentrer sur l’entraînement, usant alors de son naginata contre ses partenaires du jour, tout en faisant parfois quelques pauses pour étudier plus en profondeur les maniements de la magie blanche avec Alan. La journée lui avait paru éreintante, aussi, elle n’était pas contre une bonne douche revigorante et rafraîchissante. Accueillant cette pluie vivifiante, Akemi refit le topos de la journée, repensant alors à la discussion qu’elle avait eut avec Seiji sur la plage, mais aussi de son rapprochement avec celui-ci… Sentant ses joues s’empourprer à cette pensée, la jeune femme tenta vainement de ne plus y penser en se frottant un peu trop énergiquement ses cheveux, mais cela ne suffisait pas à lui faire oublier le regard du Seiji, ni à la sensation de ses lèvres contre les siennes et encore moins de la chaleur de ses mains contre son corps. Elle avait de nouveau, envie de lui, de sa présence, de son corps contre les siennes. « Tu n’es vraiment qu’une perverse... » Soupirant contre ses pensées impures, la jeune femme usa de sa serviette pour se sécher, laissant pendant un instant celle-ci contre ses lèvres, comme si elle était en pleine réflexion. Dire qu’ils avaient failli le faire ce matin… Quel dommage qu’ils aient été interrompu par le commandant. « … Tu n’es vraiment qu’une grosse perverse Akemi ! » Puis sur ses paroles, elle se sécha, tout en tentant de penser à autre chose pour ne pas mourir de honte.
Constatant que le jeune homme avait regardé brièvement l’horizon, l’invokeuse ne put retenir une nouvelle rougeur quand celui-ci énonça qu’il avait une petite heure avant le début de journée. Était-il en train de penser à ce qu’elle pensait ? Quand il se releva tout en l’aidant à faire de même, la jeune femme n’avait plus de doute quant à ses intentions. Il était évident qu’il voulait le faire. Profitant que le jeune homme lui tournait le dos tout en lui tenant la main, la jeune femme en profita pour poser son autre main de libre sur sa joue, comme pour calmer le feu qui lui brûlait le visage. Son cœur tambourinait contre sa poitrine, la hâte ne cessait d’exciter tout son être. Cela faisait un moment, qu’ils n’avaient pas profité d’un tel moment entre eux… Et cela, lui plaisait de voir qu’elle n’était pas la seule à vouloir profité de ce rapprochement pour s’adonner à ce geste d’amour. Resserrant doucement la main de son amant, Akemi suivit Seiji tout aussi discrètement que celui-ci, jusqu’à ce qu’une fois s’éleva derrière eux, manquant de la faire sursauter dans un bond comme si on la prenait sur le fait d’un méfait. Rougissant de plus belle, tout en essayant de se dérober du regard autoritaire de Régis, Akemi se sentit soudainement honteuse d’avoir été surprise ainsi. Est-ce que le vieil homme avait deviné ? Cela n’avait pas l’air d’être le cas à son grand soulagement. « Bien monsi... » À peine s’était-elle exprimée que Seiji la coupa d’une voix contrariée indiquant qu’ils n’avaient pas le temps. Face à ses paroles, la jeune femme se décomposa alors, son regard se posant immédiatement sur Seiji d’un air suppliant. « S’il te plaît… Ne sous-entends rien ! » Pensa-t-elle avec ferveur, mais c’était à croire que le jeune homme était imperméable à son air suppliant. Sentant l’embarras l’envahir plus intensément, la jeune femme resta interdite au milieu des deux hommes ne sachant que faire… Elle n’osait pas regarder Régis dans les yeux et encore moins après les paroles de Seiji. Sentant le regard de son amant sur elle, Akemi détourna aussitôt son visage pour éviter de le croiser, ses lèvres se mordant comme pour essayer de masquer sa gêne. Quand celui-ci s’éloigna d’un air agacé, la jeune femme se risqua à glisser un regard vers le commandant, qu’elle détourna aussitôt, avant de prendre une posture d’excuse, s’inclinant avec respect, tout en tentant d’élever la voix. « Dé... Désolée pour cela monsieur... » Puis elle s’éloigna à son tour, son regard se fermant tout en accompagnant sa bouille honteuse. Elle n’avait pas vécu d’éventement aussi humiliant, depuis bien longtemps. Aussi, elle tenta vainement de l’oublier de façon à ne pas se laisser dévorer par celle-ci toute la journée.
Après le repas, Akemi avait repris une teinte naturelle, préférant ne plus penser à l’événement précédent qui l’avait mis dans une situation inconfortable. Au lieu de cela, elle décida de se concentrer sur l’entraînement, usant alors de son naginata contre ses partenaires du jour, tout en faisant parfois quelques pauses pour étudier plus en profondeur les maniements de la magie blanche avec Alan. La journée lui avait paru éreintante, aussi, elle n’était pas contre une bonne douche revigorante et rafraîchissante. Accueillant cette pluie vivifiante, Akemi refit le topos de la journée, repensant alors à la discussion qu’elle avait eut avec Seiji sur la plage, mais aussi de son rapprochement avec celui-ci… Sentant ses joues s’empourprer à cette pensée, la jeune femme tenta vainement de ne plus y penser en se frottant un peu trop énergiquement ses cheveux, mais cela ne suffisait pas à lui faire oublier le regard du Seiji, ni à la sensation de ses lèvres contre les siennes et encore moins de la chaleur de ses mains contre son corps. Elle avait de nouveau, envie de lui, de sa présence, de son corps contre les siennes. « Tu n’es vraiment qu’une perverse... » Soupirant contre ses pensées impures, la jeune femme usa de sa serviette pour se sécher, laissant pendant un instant celle-ci contre ses lèvres, comme si elle était en pleine réflexion. Dire qu’ils avaient failli le faire ce matin… Quel dommage qu’ils aient été interrompu par le commandant. « … Tu n’es vraiment qu’une grosse perverse Akemi ! » Puis sur ses paroles, elle se sécha, tout en tentant de penser à autre chose pour ne pas mourir de honte.